Corine était l’un des prénoms les plus donnés en France à la fin des Trente Glorieuses, à l’heure du Rubik’s Cube® et de la 4L®. Gourmandises surannées, délicieusement groove et disco-funk, les chansons de Corine se fredonnent à l’envi. Elles parlent de tout et rien, du quotidien, avec une légèreté faussement naïve, dixième degré assumé, joyeux et déluré.
Corine nous parle de tout et de rien, d’amour, de danse, d’alcool, de crème solaire ou de plongée. En un mot, ses textes se réfèrent au quotidien, avec une légèreté faussement naïve, une féminité exacerbée voire provocante. Joyeuse et délurée, elle manie l’humour et le second degré. Corine écrit ses textes elle-même. Pour les musiques, c’est une rencontre avec Marc Collin (qui a créé Nouvelle Vague) qui lui a permis de se révéler. Grande fan des scènes décalées, l’auteure, chanteuse et interprète est aussi une danseuse, une meneuse, une artiste complète avec un grand sens de la scène et de la fête. Semblant tout droit sortie des années 70, ornée de sa crinière peroxydée, permanentée et laquée, parée de ses tenues festives, la peau luisante et les yeux paillettés, Corine est « une fille de ta région ». Elle raconte : J’ai croisé un nombre incroyable de Corine quand j’étais enfant. La tata qui nous donnait à manger à l’école primaire, la coiffeuse du village, la bibliothécaire…» Une femme de tous les jours, couplée à une diva spectaculaire et sexy. Petite, Corine est fascinée par Madonna, Sophia Loren ou Brigitte Bardot. Féminine, spectaculaire, décalée à souhait, elle invoque et évoque, pêle-mêle le cinéma, la musique, des influences des années 60, 70, 80 et actuelles. Corine a toujours fait du théâtre, du cabaret, beaucoup de scènes, depuis très jeune. « J’adore le côté spectaculaire, j’adore me mettre en scène », confirme-t-elle. Et son concert est un vrai spectacle, du début à la fin !
En partenariat avec l’association Equipe créative